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Désoler d'avir cor court aec vu, e n'avais pas trop la tete à skyrock, mais me revoilà, avec la suite des mon hisoire, si vous voulez la partager allez y vous avez le droit

 
Chapitre 5
La malédiction
 
Je me souvins du regard d'April quand je lui avais dit que je croyais que ça pourrait quand même marcher. Je l'avais dit trop vite, elle avait compris que je l'aimais, mais je sais qu'elle ne le dira à personne, j'ai deviné tout de suite qu'elle savait, mais elle ne l'a pas dit, je peux lui faire confiance, c'est ma meilleure amie, et je le sais depuis longtemps.
Mais bon, je n'ai pas le temps de discuter avec moi-même pensais-je.
Où me trouvais-je ? Ce foutu endroit me foutait la trouille.
Cette pièce m'était familière, sombre, noir, avec des flammes, qui bizarrement me paraissaient elles aussi familières.
Puis, un genre de vision traversa mon esprit, comme... un souvenir.
OUI !
Je me souvenais maintenant, c'était la même pièce que j'avais vu dans ma transformation, et les flammes qui me semblais familières, elles avaient la même couleur que les yeux de cet homme, si pouvait appeler ça un homme, il avait une bouche, des oreilles, un nez, des yeux, il se tenait sur c'est deux jambes... Mais sa peau, était grise et étrange, comme si on avait rajouté des filets de peau partout sur son corps, une vision horrible, qui bien sûr tombait sur moi, comme d'habitude, mais j'avais plus peur de ce monstre, au début si, car il avait été impressionnant, mais maintenant, tout ce que je voulais, c'est l'avoir près de moi, et de lui arracher le c½ur.
Qu'elle penser morbide j'avais là, je ne tuerais jamais quelqu'un de ma vie, j'avais bon c½ur, et même sur la bête la plus méchante et la plus moche, je ne ferais jamais une chose pareil, hors de question.
- ALEX !!! Criais-je soudain inquiète qu'il ne soit pas là.
- ALEX ? Où ES-TU ?!
Je toussais, bientôt je n'arriverais plus à respirer, asphyxier par les flammes.
Puis je vis une ombre coucher sur le dos dans un coin, je couru, et avec soulagement je vis que c'était Alex.
- Alex ! Je fis sur lui en une seconde, je le secouais, mais rien, il ne se réveillait pas.
- Tu croyais que ça serait si facile ? dit une voix derrière moi, une voix que je reconnu immédiatement, je fis volte-face, mais rien, il n'y avait rien, personne.
Puis d'un coup les flammes partirent, je respirais un bon coup, l'air presque frais autour de moi.
Et il apparut, devant moi, comme ça, pouf, comme par magie, mais la magie n'existe pas, n'est-ce-pas ? Alors comment étais-je venu ici alors ? Et comment ce monstre pouvait-il être là ?
- Alors... On se pose des questions là-dedans, fit le monstre en ce tapotant la tête avec un sourire de malice aux lèvres, j'avais dû rester immobile trop longtemps.
Mais je me foutais de ça provocation, si s'en était une.
- Tu crois que tu m'impressionne ? Lui répondis-je.
C'est vrai que je flippais, mais mon père m'avait bien appris une chose dans ma vie, il ne fallait en aucun cas, montrer ses faiblesse.
Son sourire s'évapora, et il me fixa droit dans les yeux, au début j'ai cru qu'il voulait me faire peur avec ses yeux cruel, mais je compris vite que c'était pour me faire quelque chose, alors je couru vers l'autre bout de la pièce, il n'avait rien suivi, et le mur ou j'étais il y a un instant s'écroula sur Alex.
- NON !!! Criais-je, et je couru vers le monstre voulu lui faire un prise de que j'avais appris au cours de self-défense. Mais il fut plus rapide et quelque chose me poussa en arrière et me projeta sur le mur.
Je me relevais tant bien que mal, et m'aperçus que j'avais toujours le collier autour du cou, je ne sais pas pourquoi je pensais que ce collier pourrais m'aider, mais je le pris entre mes mains en pensent fort à quelque chose qui aurait pu nous sauver Alex et moi, et d'un coup les pièces du mur qui c'était effondrer, s'abattirent sur le monstre.
- Je reviendrais. Dit-il en tombant, et il s'évapora avant d'avoir pu toucher le sol.
- On verra ça, dis-je à voix basse.
Je couru vers Alex, je lui enlevais encore quelque pierre qui restait et le secouait.
- Alex, répond moi je t'en supplie.
Mais rien il ne réagissait pas.
- Je vais trouver une solution, je te le promets, mais j'ai besoin de Tom, je reviendrais, je te le jure. Dis-je tout en prenant le collier entre mes main, avant que je rejoigne la réalité je pu voir que je décors c'était transforment en forêt, une magnifique forêt, on aurait même pu croire que des papillons allait sortir d'un arbre d'un moment à l'autre.
Et je revins à moi, dans le fauteuil de Tom, ils s'étaient encore debout à me regarder sans bouger, et je me dis si cela avait duré longtemps pour eux, ou juste une minute.
J'ouvris les yeux et me rassis, trop vite pour des yeux humains, après m'avoir regardé ils se tournairent vers Alex, prêts à le voir se réveiller.
- Pourquoi Alex n'est-il pas réveiller.
- Il va falloir que tu m'aide Tom, après que je vous aie dit toute la vérité.
C'est ainsi que je leurs racontaient toute la vérité.
- Donc tu dis qu'il n'est plus sous l'emprise de la malédiction, mais sous le choc ?
- Non, je crois qu'il est plutôt endormi, comme la reine au bois dormant.
- Ah...
- Vous auriez dû voir ce monstre en train de se moquer de moi, et tu sais quoi ? Je n'ai même pas eu peur, et grâce à ce collier, je lui ais foutu une raclé terrible à ce mec.
- Je ne sais pas ce qu'il faut faire.
- Donc on abandonne ? Je n'abandonne pas mon ami, ok, fais qu'elle que chose, ramène le moi, s'il-te-plais. Le supplia Timoti.
- Tu me prends pour un sans c½ur ou quoi, bien sûr que non, je ne vais pas le laisser comme ça, dit Tom sur la défensive, il faut attendre mes parents.
- Oui mais mes parents vont bientôt rentrés chez moi. dit Annabelle.
- Dites-leur que vous êtes chez des amis. Dit Tom.
- Aucun problème. Dis-je tant que je pouvais éviter ma mère ok.
- Non, et on leur dit aussi qu'on dort chez toi peut-être ? Dit Timoti rageur.
- Si tu veux retourner chez toi pars, mais tu ne seras pas là pour lui dans le pire moment de sa vie.
- Si je reste, mais pour lui, tes parents ils viennent quand ? Demanda Timoti.
- Dan...
Il n'eut pas le temps de finir que la porte d'entrée s'ouvrit.
- fiston... on est rentré... qui sont tes amis ? Demanda le père de Tom, avant que ça mère rentre elle aussi.
- Bonjour papa, la mission est accomplie.
- Venez tous ici nous expliqué, et j'aimerais tellement savoir qui vous êtes. Dit son père en s'asseyant sur une chaise, non sans avoir tiré la chaise de sa femme ?
Discrètement, j'envoyais un message à mes parents, leur disant que je ne serais pas la avant 21h, et que mon téléphone n'avait plus de batterie, pour ne pas leur laisser le choix de me dire de revenir tout de suite.
Pendant que Tom racontait toute l'histoire à son père, je regardais la maison, spacieuse, en bois, avec une touche de couleur dans chaque pièce, ça sentait la bonne humeur dans cette maison, par rapport à la mienne, qui elle et blanche, juste blanche, avec quelque affaire gris, et ma maison, quand on y rentrait, on ne se sentait pas chez soi, pas allaise[ln1] [ln2] , rien, rien ne sortait de ma maison, juste une maison blanche, comme si des robot sans cervelle et sans c½ur y habitait.
Je détestais ma maison, même moi qui y habitait depuis toujours, je ne me sentais pas chez moi, je ne me sentais jamais chez moi quand je n'étais pas avec mes amis, et surtout avec April, April ressentait toujours la bonne humeur, avec ses cheveux resplendissant de chaleur de joie de bonheur, lumineux quoi. Et moi, j'avais des simples cheveux brun ;
April, elle avait toujours l'air heureuse, appare quand ses grands-parents sont morts, ou quand son père est mort, là ce fut des jours, des semaines, des mois de tristesse, de trou noir, mais on l'avait sorti de là, sa mère l'avait sorti de là, je l'avais sorti de cette passe, avec Timoti, Annabelle, Tara, Alex, nous l'avions sorti de là. Elle avait appris, pas à l'oublier, mais à vivre avec.
Moi, je n'y arrivais pas, appare quand je suis avec elle ou mes amis, on rigole beaucoup, et ça me sort de la tête, je ne sais même pas pourquoi je suis triste, je n'ai pas eu de mort dans ma famille, et tout va bien, peut-être que ma vie n'avait pas de rebondissement, qu'elle était toujours pareil, que tout était la même chose, à la même place, sans un grain de poussière.
En tout cas maintenant, j'avais la certitude que ma vie allait changer.
Une aventure comme je n'en n'aurais jamais vu.
Je regardais Alex, sur le fauteuil, nous l'avions porté et mis sur le sofa, c'était tout de même la moindre des choses.
Je me sentais si triste de l'avoir perdu, je me souviens, quand j'allais partie pour aller dans le bâtiment, il m'avait tirer un peu en arrière, April n'avait rien remarquer, je me souviens, son regard si profond quand il me regardait, et ses lèvre formé des mots, pour me dire un peu timidement : « fais attention à toi, je veux pas te perdre », il n'avait pas dit ça en ami, j'en était sûr, mais peu importe, maintenant, c'était moi qui l'avait perdu.
- Donc c'est toi qui l'as sauvé de ce monstre, mais il est toujours endormi. Conclu le père de Tom.
Il me sorti de ma rêverie.
- Oui, je me souviens que le monstre est parti, mais quand je suis arrivé dans la pièce Alex était déjà endormi. Expliquais-je pour la deuxième fois.
- Donc si il est vraiment de notre monde, une seule chose peut le sauvé. L'amour, celle qu'il aime doit l'embrasser.
- Oh, Oh, Oh, attendez un peu, c'est vrai que la situation est hors norme, mais de là se reprendre à un conte telle que la reine au bois dormant. Dis-je furax avec cette histoire de conte.
- Rappelle-toi Rachel, c'est toi-même qui l'as dit.
- Non, je voulais juste dire qu'il était endormi... en et puis zut, de toute façon, on ne sait pas de qui il est amoureux. Dis-je d'une petite voix, je sais que je suis amoureuse de lui, mais je ne sais pas si le lui l'est.
Je regardais April, je voyais qu'elle savait quelque chose mais qu'elle hésitait à le dire, Tom s'en était aperçu avant moi et dit :
- April, si tu sais quelque chose qui pourrait nous aider, qui pourrait l'aider, dis-le. Dit- il en la regardant dans les yeux. J'étais sûr qu'il était amoureux d'elle, mais elle, ne savait pas.
- Heu... Enfaite je pense savoir de qui il est amoureux. Dit-elle en me regardant, d'un regard d'excuse.
- Qui ? Demanda-t-il en prenant ses poignets délicatement.
- De Rachel. Dit-elle en se dégageant de son emprise et en me regardant maintenant d'un regard désoler.
Elle n'avait pas à être désoler, je ne lui râlerais pas dessus pour m'avoir ouvert les yeux.
J'étais enfin soulager de savoir que c'était vrai, que tout ce que je m'étais dit dans la tête était réel.
Tom se tourna vers moi.
- Tu t'en sens capable ? Me demanda-t-il.
- Oui. Dis-je après avoir pris une grande respiration.
Alors je m'approche d'Alex, un peu énervée de devoir l'embrasser pour la première devant tout le monde, mais ils s'écartent le plus possible, pour nous laisser un minimum d'intimité.
Je me penche vers lui, et lui un baiser – tendre, doux, et plein d'espoirs- sur ses lèvres, je remarque une petite cicatrise sur celles-ci, mais ça ne me dérange pas du tout, je trouve ça plutôt...
Magique.
Il se réveille, mais ne bouge pas, je ne veux pas que ce moment s'arrête.
Et lui non plus.
Enfin...
C'est ce que je croyais, il s'arrache à ma bouche, et reste la tête basse, dans ses yeux- que j'aperçois à peine, je vois de la tristesse, mais du courage, je ne vois pas ce que ça veut dire.
Puis, d'un coup, son visage se voile, et il ne laisse plus rien transparaitre.
Il ne me regard toujours pas.
Je retiens ma colère, et ma tristesse, moi qui croyais que c'était possible.
Mais comment avait-il pu se réveiller, alors qu'apparemment, il ne m'aimait pas ?
Je ne m'attarde pas sur la question, il s'est réveillé, tant mieux.
Alors je retourne vers les autres, et m'écarte encore le plus loin possible.
Tom s'approche de lui pour tout lui expliquer, il ne réagit même pas quand il lui dit que j'avais fait tout mon possible pour le ramener, que c'était moi qui l'avait sauvé et tout le reste.
Même moi ça m'est égale.
Je ne regrettais pas le moins du monde de l'avoir sauvé.
Mais ça s'arrêtait là.
Je ne voulais plus rester ici.
Je ne voulais plus voir Alex.
Alors, je pars, je sors discrètement, personne ne remarque mon absence, appare April, elle, elle a compris ce qu'il venait de se passer.
Mais elle ne dira rien, elle sait que je veux être seule, elle me connait tellement bien.
Elle me connait, mais elle n'a pas vu mes yeux, je pleurs, et quand je pleurs, elle sait que ça ne va pas du tout, et si elle l'aurait vu maintenant, elle saurait que je ne reviendrais pas, que je ne voulais plus le voir, car il m'a brisé le c½ur, et que ça ne pardonne jamais.
Je cours pour m'éloigner.
Je cours pour l'oublier.
Je cours pour avoir la sensation de pouvoir voler.
Je cours pour être libre.
C'est si beau quand je cours, je vois la moindre goûte sur le sol, je vois la moindre bête, que ça soit une petite comme la fourmi, ou une plus grosse comme l'araigner.
Je cours aussi pour réfléchir...
Apparemment, je venais d'un autre monde, un monde plein de magie, j'ai eu d'autres parents, que j'ai sûrement aimés...
Ça me semblait impossible, mais alors, pourquoi je courais si vite, pourquoi, j'avais sauvé Alex, avec un collier, et puis avec un baiser, comme dans Blanche neige, et comme dans la série Once upon a time ?
Il y avait trop de... De magie dans tout ça.
Il fallait que j'y retourne, pour peut-être mieux comprendre ce truc de fou, ou aussi, pour savoir si tout ceci était bien réel.
Je ferais juste comme s'il n'existait pas, et s'il me pauserait des questions, ou s'il me parlerait, je lui répondrais comme une personne civilisée, j'essayerais juste d'écourter la conversation le plus possible la conversation.
Non...Non Je ne pourrais jamais écourter la conversation, pour la simple, mais néanmoins la seule raison que j'aime sa voix, et je ne pourrais jamais supporter le voir tombé amoureux d'une autre fille.
Soudain, j'entends quelque chose, ou quelqu'un s'approcher de moi.
Je ne regarde pas, mais coure de plus belle.
Au moment où je me retourne  pour voir qui s'est, je n'eus pas le temps de freiner, je tombais dans un trou, je ne voulais pas voir en bas, je savais déjà qu'il était profond.
Je m'accroche à une branche, mais elle craque sous mon poids, et je tombe, encore, encore, et encore n'attendant que la mort.
En haut je ne vois rien, peut-être que rien n'était à ma poursuite, peut-être que je n'avais fait pour rien, peut-être aussi que c'était mon destin, je ne le saurais jamais de toute façon, c'était fini d'avance.
Je fini par m'écraser.
Je reviens à moi, à ma plus grande surprise.
Je crois que je suis morte, j'ai toujours cru qu'il y avait quelque chose après la mort, c'était peut-être ça.
Mais j'étais toujours dans le trou.
Et je souffrais atrocement.
J'étais toujours vivante.
Je n'entends rien juste un gros bippp... Dans mon oreille.
Je vois flou aussi.
Mais j'arrive à voir ma jambe tordu bizarrement en v.
Et ma main rouge, et dégoulinante.
J'en conclus que je saigne, même si je ne voyais presque pas.
J'attends un peu le temps que ma vue se remette comme il faut et que je puisse entendre.
Puis je me redresse, à toute vitesse, mais avec beaucoup de douleur dans le dos.
Et puis sans réfléchir, je remets ma jambe droite.
J'entends un crac, puis un cri étrange, que je n'avais jamais entendu avant, un cri étouffé, étrangler, plein de douleur, de peine, atroce, que personne ne veut entendre, même le pire des tueurs en série.
Et puis je comprends que le crac viens de ma jambe, et que ce cris si bizzard, est sorti de ma bouche.
- RACHEL !!! Quelqu'un crie d'en haut.
Je connais cette voix.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Chapitre 6
Je croyais vraiment que tu m'aimais.
 
Je regarde en haut.
C'était lui.
- Alex. Dis-je, trop bas pour qu'il l'entende.
- Ne bouge pas, j'arrive.
Franchement, où voulait-il que je parte, et même si je pouvais, je n'aurais jamais su avec ma jambe.
Il descend en réfléchissant bien à chaque prise, pour ne pas finir comme moi, il en faut bien un intacte pour qu'on puisse sortir d'ici.
Je me couche déjà épuiser, j'ai de la terre partout sur la figure, je tousse, et j'ai du mal à respirer, il faut que je me concentre, pour oublier tout ça, et penser au plus important.
En arrivant en bas, il reprend son souffle, je ferme les yeux, il s'assit à côté de moi, lève délicatement ma tête pour la pauser su ses jambe.
Je rouvre les yeux, sentant qu'il s'inquiète à ne pas pouvoir savoir si tout va bien.
- Ne bouge pas trop la tête. Me prévient-il.
- Oui. Dis-je de ton pâteux.
- Désolé, je n'aurais jamais dû te poursuivre, j'aurais dû t'appeler. S'excuse-t-il.
Je ne réponds rien, car j'ai mal, et que rien ne peut sortir de ma gorge.
Au bout d'un moment, je me sens capable de dire deux ou trois mots.
- Donc c'-était-toi. Dis-je avec plusieurs pauses.
- Oui personne n'à remarquer ton absence, mais moi si, toujours. Dit-il pour lui-même, puis il continue : Je crois qu'April aussi, mais elle n'a rien dit, quand j'ai voulu le dire, j'ai eu mes pouvoir, les même que toi, sauf que moi, c'est plus avancer, j'ai le flaire.
Je n'arrive pas à parler, mais il voit mon visage stupéfait.
- Et oui, c'est... Bizzard. Quand je me suis réveiller, je me suis lever d'un bon, et je suis parti à ta recherche, Tom m'a poursuivi, mais il m'a perdu de vu, bien sûr, je crois qu'ils attendent notre retour. Après je t'ai flairer, je t'ai vu, mais en entendant mes pas, tu as pris peur, et tu as couru encore plus vite, j'avais du mal à te suivre, je me suis aussi dit que tu allais bien t'arrêter à un moment( je souri) puis d'un coup je ne t'ai plus vu, un peu après j'ai vu le trou, je t'ai vu, au début, j'ai cru que tu étais morte, mais après j'ai crus te voir bouger, et tu as hurlée.
Je trouve un peu de force pour dire.
- Ma-jam-be était-tour-ner en v, je l'-ai rem-ise droi-te.
Il eut un hoquet de stupeur, puis il se dit que je savais sûrement ce que je faisais, mais non, pas du tout, je voix des traces de larmes sécher, et une qui continuait toujours son chemin, je lève le bras, un dernier petite effort, et essuies la larme du bout du doigt.
- Tu-as-pleu-ré ? Demandais-je, sans que ça soit vraiment une question.
Il ne répond pas et ferme les yeux.
Il remarque à ma voix, et aussi à ma main, que je suis vraiment mal au point, il enlève son ticheurte, et l'enroule sur ma main, je n'arrive même pas à retenir un sanglot douloureux.
Il a peur, je le vois à ses yeux.
 Je le rassure.
Je n'arrive vraiment plus à parler, je perds mon souffle.
Je me reprends, et n'y tenant plus je dis :
-Tu-sais, j-e cro-yais vrai-ment que c'ét-ait récipro-que.
- De quoi ?
- Je cro-yais vraim-ent que-tu m'aimais.
Il sourit, je ne trouve pas ça marrant moi.
Il se penche vers moi, près à m'embrasser, je voudrais détourner la tête, mais je n'y arrive pas, je n'ai pas assez de force, il touche mes lèvre, je ressens des frissons, je veux me dégager, je trouve ça si beau, même trop beau, ce baiser à plein de goût, de tendresse, d'espoir, de victoire, il représentait tous ce que je ressentais pour lui.
Pourquoi fessait-il ça ? Pour que j'aie ce que je veux parce que j'étais sûrement entre la vie et la mort ?
Il fessait ça par pitié.
Je pleure, mais il n'entend rien, et il continue de m'embrasser.
- Arr-ête, s'il-te-plais. Le suppliais-je entre deux sanglots.
Il recul, il reprend son souffle, et me regarde, il croit que je n'ai pas compris, mais j'ai compris.
J'arrive à détourner la tête, je me dégage de ses jambes, et me recroqueville sur moi-même, j'avais très mal en fessant ces geste, mais c'était encore pire que de le voir, je ferme les yeux.
- Rachel ?
- Rachel.
Il se rapproche de moi, mais je refuse de me tourner vers lui, et de le regarder.
Je sens sa main chaude sur ma joue, il essuie mes larmes comme moi, un peu avant.
Je me dégage encore un fois de son emprise.
- Je ne veux pas de ta-pi-tié, lais-se moi cre-ver ici, casse toi.
Il se rapproche de moi, encore une fois, mais je veux qu'il parte.
- Barre-toi, cas-se-toi, laisse-moi tou-te seu-le.
Il ne comprend toujours pas.
Il me prend le menton délicatement, me forçant à tourner la tête vers lui, il est si parfait, je fonds en larme.
Il me regarde inquiet, ne sachant quoi faire, je sais moi, ce qu'il doit faire, me laisser ici, partir sans ce retourner.
- Bou-ge-toi, laisse-moi tran-quille.
AU lieu de ça, il me serre dans les bras, ce qu'il ne fait qu'axent tuer mes pleures.
- Rachel, calme toi, s'il-te-plais calme-toi.
Je n'y arrive pas.
- Je t'aime.
Je ne comprends pas, et continue de pleurer.
- Je t'aime Rachel, je t'ai toujours aimé, la première fois que je t'ai vu, je t'ai aimé, je t'aime, je t'aime...
Il répète ses mots jusqu'à ce que je cesse de pleurer.
- Je t'aime Rachel.
- Non, tu ne m'ai-mes pas, tu ne m'-as jam-ais aim-é.
- Qui t'as dit ça, je t'aime Rachel, je t'aime.
- Tu ess-aie jus-te de me cal-mer, car tu sais que ça peut me tu-er de pleu-rer comme ça dans mon état.
- Je t'aime Rachel, crois-moi.
- Je ne te crois pas, et je ne te croi-rais pl-us jam-ais.
- Je t'aime, pour quoi j'aurais pleuré sinon ?
- Car mê-me si tu ne m'ai-me pas, je suis qu-and mê-me ta meil-leure am-ie.
- Non, tu es plus que ça  je t'aime, je croyais juste que toi non, que tu m'avais embrassé juste pour me ramener.
- J'aim-erai pou-voir te croire.
- Tu me croiras après ça.
Il me reprend par le menton, et m'embrasse.
- Lâ-che-moi.
Mais il continue, encore et encore, il ne me lâche pas.
- Je t'aime. Il continue encore à me dire ses mots.
Il finit par pleurer, et moi aussi, je découvre enfin qu'il m'aime, il m'aime vraiment.
Il pleure, et il ne cesse de répéter qu'il m'aime.
Je découvre enfin son point faible.
Moi, il m'aime, et je crois même qu'il m'aime autant que moi.
 Il m'embrasse, encore et encore, je fini par me laisser faire.
- Je t'ai-me aussi. Finis-je enfin par dire.
Il sourit, et m'embrasse une dernière fois.
- Je t'ai toujours aimé, dès que je t'ai vu dans cette classe, je t'ai toujours aimé.
- Moi auss-i, je t'ai touj-ours aim-é Alex.
Je lui répète encore et encore, le serrant tout contre moi, je me sens obliger de lui répéter, pour qu'il cesse de pleurer, comme il l'a fait pour moi.
Il pleure, je trouve ce moment magique, je l'embrasse, puis le serre contre moi, puis je l'embrasse encore encore, encore, jusqu'à ce que j'en perde mon souffle.
Il arrête de pleurer, et il sourit.
- Si tu savais depuis combien de temps j'attends ce moment, je t'aime depuis le premier jour qu'on s'est vu, tu te souviens ?
- Oui.
Je me souviens de ce jour.
 
C'était la rentrée des classes, ma première année en secondaire, je m'étais assise à un banc seul, car je ne connaissais personne.
Un garçon du même âge que moi s'assied à côté de moi, il déborde de joie.
- Salut, moi c'est Alex ! Il me tend la main, je la serre, un peu gêner, mais toute souriante, il voix que je suis timide.
- Moi c'est Rachel.
Je suis si contente, je ne suis plus toute seule.
Il se penche vers moi, d'un geste rassurant.
- Toi aussi tu ne connais personne ici ?
- ça se voit t'en que ça.
-Non, tu es juste toute seule à un banc pour deux personnes, et tu ne parles à personne.
- Tu as raison, et toi ? Tu es aussi tu connais personne.
- Ben maintenant je te connais. Dit-il toujours souriant.
Je rigole, ne pouvant me retenir, il m'imite.
- Je peux rester ici ? Demande-t-il en désignant la chaise ou il était assis.
Je fais semblant de réfléchir, et rigole de nouveau.
-Bien sûr que oui.
Il rigole.
- Merci, je croyais que je resterais tout seul.
- Moi aussi !
Nous rigolons et parlons toute la journée.
 
C'était mon meilleur ami, maintenant, bien sûr, il est plus que ça.
- Je ne t'ai pas choisi parmi tout le monde, tu es la seule que j'ai remarqué, tu te fondais dans la masse, tu souriais tout le temps, bien que tu sois seule, je t'ai trouvé si belle dans cette petite robe fleurit que tu portais ce jour-là, tu avais les yeux qui pétiaient, les joue rosie, les lèvres toute rouge, tu étais la plus belle.
Je rougis, je sais enfin toute la vérité.
J'essaye de parler, ouvre la bouche mais j'ai trop mal, je le fais savoir à Alex pour ne pas qu'il se vexe.
Il est inquiet.
- Je t'aime et tout va bien se passer. Me dit-il à l'oreille.
Je sais qu'il m'aime, mais je sais que ça ne va pas se passer si bien que ce qu'il pense, je n'arrive presque pas à parle, je crois que j'ai deux ou trois côte casser, ma jambe est cassé. Ma mais saigne toujours.
Je lui fais un bisou sur la joue.
Et articule à son oreille :
- Je ne crois pas.
Il est inquiet.
- Ne dit pas ça, tous va bien se passer, je viens juste de t'avoir, je ne te laisserais jamais me filer entre les doigts, je ne laisserais personne te faire du mal. Il se tait, il comprend qu'il m'a fait du mal en m'embrassant alors que je croyais qu'il ne m'aimait pas.
- J'essaie toujours de faire les choses bien, et tout le contraire se passe.
- On est ensembles, c'est tout ce qu'il compte. Articulais-je.
- Oui. Me dit-il on va nous retrouver.
Il appelle April avec son téléphone.
- Allô. Quelqu'un décroche au téléphone.
- April c'est moi, Rachel est tombé dans un trou d'un peu près 7 mètres, elle ne sait presque plus parler, je crois qu'elle a des côtes casser, la jambe cassé une main qui mériterait les plus grands soins, et elle a plein d'hématomes.
- OH MON DIEU. TU ES DESCENDU LA VOIR ?
- bien sûr que oui, je n'allais pas la laisser là !!! Elle l'a vexé, et il est sur la défensive.
- D'accords, les parents de Tom appellent la police et tout le reste, où êtes-vous ?
- Je ne sais pas, je n'en ai aucune idée, mais pas très loin de chez vous, dans un périmètre de 1 kilomètre, pas plus.
- D'accords, et quesque tu sens ?
- La framboise, ça sent la framboise.
- Merci. Tu peux me la passer ?
- Désoler, mais elle ne sait pas parler, il faut qu'elle garde de l'énergie.
- D'accords, dit lui juste que tout ira bien, et que je l'aime.
- Oui, bien sûr.
- Merci, bonne chance Alex.
Elle raccroche.
Alex veut me dire ce qu'elle a dit pour moi, mais il sait que j'ai entendu.
- Ne parle plus, me dit-il, il faut que tu ais un maximum d'énergie, ils vont nous retrouver.
Je hoche la tête
- Ils sont en route, on va s'en sortir, ensemble, tu ne me lâche pas.
Je hoche à nouveau la tête.
- J-e suis fa-ti-guer, dis-je en fermant les yeux.
- Non, ouvre les yeux, je sais que tu es fatiguer, mais ne dors pas, je ne veux pas que tu ne rouvre plus jamais les yeux, fais ça pour moi.
Je hoche encore la tête en ouvrant les yeux.
Je reste éveiller pour lui, et aussi pour April.
Il commence à parler de tout et de rien pour ne pas que je m'endorme, au bout d'un moment, nous sommes trop fatigué, et nous sombrons tous les deux, main dans la main.
 
Je me réveille, c'est Alex qui me réveille, il est affoler, il croit que je suis morte, mais je ne le suis pas, je perds toujours beaucoup de sang de ma main, et flaque c'est formé là où je l'avais laissé, j'avais du mal à respirer, mais j'arrivais à parler, ma jambe me fait atrocement mal.
- Rachel ? Rachel réveille-toi, ils sont là, ils nous ont retrouvés.
Je vois que nous ne sommes plus la nuit.
Je n'arrive pas à me lever, alors il me porte.
Il y a une corde au milieu du trou, il s'accroché à une sangle et me tiens dans ses bras.
Il m'embrasse.
- Je t'aime.
- Moi aussi, Mais il est temps de dormir maintenant.
- Il ne comprend pas tout de suite ce que je dis, puis je ferme les yeux, il comprend que je ne tiens plus.
- Rachel, non, ne fait pas ça.
Je prends tout mon courage et mes efforts, pour arrivées à dire tout ça convenablement.
- Je ne meurs pas, je reste avec toi, je ne meurs pas dans ta tête, je ne meurs pas dans ton c½ur, je meurs juste en vrai. Je t'aime.
- RACHEL !!!
Trop tard, j'ai lâché prise...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Chapitre 7
La vie ou la mort.
 
Je me réveille encore une fois, je suis tout autour de deux personnes, je ne vois pas Alex, je deviens folle.
- Alex ? Alex !!! Alex aide moi j'ai mal !!!
- Rachel ! Rachel je suis là. Et en un instant il est à côté de moi.
Un médecin me dit que tout va bien, qu'il va me soigner ma main, je hoche la tête et me retourne vers Alex.
Il m'embrasse.
- Je t'aime.
Je crois que c'est lui qui dit c'est deux mots doux, mais non, c'est moi.
Il ne répond rien, pour une fois, il veut que ça soit moi qui les dise.
Il me regard un instant.
- J'adore regarder tes yeux. Dit-il.
- Moi au-ssi.
-  Il ne t'arrivera rien puisque nous sommes ensemble.
Je ne suis pas convaincu, mais je vois qu'il a encore pleuré alors je réponds.
- Bien sûr.
Tout se passera bien.
- Pro-met le moi. Dis-je sans vouloir le dire vraiment.
Il ne répond rien alors je répète.
- Pro-met le moi.
- Je te le promets, mais alors promet moi que tu n'abandonneras plus, pour moi.
- Je te le prom-ets. Dis-je après avoir réfléchi un peu, juste pour savoir si j'en étais capable.
Pour lui j'étais capable de n'importe quoi.
Je soufrais, je soufrais tellement.
Je demande à un médecin de l'hélicoptère si on devait m'opérer.
- Non, mais vous avez les côtes casser, vous allez devoir rester quelques semaines à l'hôpital.
Je hoche la tête.
- Ne vous inquiéter pas, ça aurait pu être pire. Me rassure-t-il, un peu maladroitement.
Je hoche la tête de nouveau et me retourne vers Alex.
- Tu vois, tous va bien. Me dit-il.
- Mais pour-quoi ai-je fais un ar-rêt ?
- Tu n'as pas pu tout supporter. Me dit Alex.
- Bi-en sûr.
J'étais un peu ailleurs.
Alex reste avec moi, il me prend la main.
- Quesque tu as ? Me demande-t-il.
Il remarque que je regarde le plafond depuis trop longtemps.
- J-Je pen-se à nous.
- J'aime bien quand tu dis « nous », ça sonne si bien, si beau. Mais tu penses quoi de nous ?
- Je me rap-pelle qu-and tu as tout fais pour prou-vé que tu m'ai-mais.
- Ne me dit pas que tu n'y crois pas ?
- Bi-en sûr que n-on, mainte-nant tu peux me dire la vérit-er.
- Tu sais que je t'ai toujours aimé ?
Je détourne les yeux, bien sûr que non je ne croyais pas qu'il m'aimait vraiment avant qu'il sache qu'on avait les mêmes yeux.
- Non, je crois que tu as com-mencé à m'aperce-voir qu-and tu as vu qu'on av-ait les mê-mes yeux.
Il se rapproche de moi, et secoue la tête.
- Non, non, non, Rachel, ne me refais pas le coup, je ne t'ai pas aperçus car tu avais les même yeux que moi, je t'ai aimé dès le premier jour.
- Peut-être mais il y a bien un mo-ment où tu à arrêter et puis tu te l'est r'appeler ju-ste après qu'on se soit tous entr-ainer dans cette hist-oir folle.
Il se rapproche encore, maintenant, il n'est juste qu'à quelque millimètre de ma bouche.
- Je n'ai cesser de t'aimer, quand je tombais amoureux de quelqu'un d'autre, il n'y avait que des pensées pour toi, il y a des jours ou je me disait que c'était impossible tous les deux, alors je sortais avec d'autres fille, mais ça ne durait rarement le temps d'un baiser, il n'y a que toi que j'ai réellement aimé, que toi.
Il m'embrasse, délicatement comme à chaque fois, comme une plus douce, chaude, tendre, se déposant sur ma bouche.
- Je te crois, mais je suis triste de sa-voir que tu m'as aimé cha-que se-conde de ta vie, car moi aus-si, et on ne se l'ait jam-ais dit. Pour-quoi ?
- Parce qu'on attendait juste le bon moment.
- Le bon mo-ment c'est av-ant que je meurs et puis que je ressu-scite?
- Non, le bon moment, c'est juste quand on est près à aimer pour de vrai, et pour la vie.
Je souris et enlève ma main de la sienne pour la poser sur sa joue, et de l'attiré vers moi, je l'embrasse, puis il me renvoie l'ascenseur.
- Tu me crois maintenant ? Me demande-t-il.
- Oui.
Il sourit.
- Repose-toi, on va arriver à l'hôpital.
- Ok.
J'en avais marre de parler comme un robot, je faisais tout le temps des pose au milieu des mots quand ceux-ci était trop grand pour que j'ai assez de souffle, heureusement, Alex s'en fichait, il en avait plus-tôt peur enfaite, il a peur que les poses viennent de plus en plus, et que pour finir, je n'ai plus de souffle.
Je reprends la main d'Alex.
Nous arrivons enfin à l'hôpital, là-bas tout le monde s'affaires tout près de moi, et je ne trouve plus la main d'Alex.
On s'occupe de ma jambe.
Puis pour mes côtes, on me prescrit des antalgiques.
- Vous allez devoir rester à l'hôpital environs une semaine, et puis on verra ce qu'il s'ensuit d'accord. Dit-un médecin quand tous les autres sont partis et qu'ils m'ont enfin amené dans une chambre.
- Oui, es que vous savez où est le garçon qui était avec moi dans le trou ?
- Non désoler.
- Ok, ce n'est pas grave, merci.
Il sort de la pièce, et je me retrouve toute seule.
Pas longtemps, mes parents arrivent en courant dans ma chambre.
Ma mère vient vers moi, veut me prendre dans ses bras, mais se rend compte qu'elle ne peut pas, alors elle me prend la main.
Mon père m'est sa main sur mon épaule.
- Ma chérie, tu vas bien ? Pourquoi étais-tu dans les bois, pourquoi n'as-tu pas vu le trou ?
- Je me promenais dans les bois avec Alex, j'étais devant lui, on a fait une soirée sans vous le dire ou on partirait dans les bois, on s'est séparer en groupe, mais Alex et moi, on s'est perdu, puis j'ai commencé à courir parce que j'avais vu un ruche avec des abeille dedans puis Alex à rigoler, lui il était resté là, et puis vous savez la suite. Je répétais ce qu'on avait préparé à dire à nos parents Alex et moi.
- Nous avons décidé ton père, moi et les parents de tes amis, que vous irez tous dans un internat.
- Quoi !? Mais maman, tu ne peux pas faire ça, papa tu étais d'accords ?
- Oui, mais c'est pour ton bien. Dit-il.
- Et vous serez tous dans le même internat. Me dit ma mère.
Comme si ça changeai grand choses.
- Mais... Non, Non, Non !!!
- Si, la discussion est close, vous faites n'importe quoi depuis quelque temps, stoppe c'est fini.
- Et les parents de Tom on accepter ?
- Bien sûr que oui, je crois même que c'est à cause de lui que tout cela à commencer.
- Sortez de ma chambre.
- Chérie...
- Tout de suite, sortez sinon j'appelle la sécurité.
- On revient dans une heure, vous commencé l'internat dans deux semaines, le temps que tu te remettes en forme.
- Non, revenez dans deux heures, ou j'appelle la sécurité, c'est claire.
- Ne nous parle pas sur ce ton, et oui c'est claire. Dit mon père énervé, mais à bout de force.
Ils sortent.
Quelques minutes après, Alex rentre dans ma chambre.
- Tu sais ? Demande-t-il.
Il vient me prendre la main.
- Oui.
- les parents de Tom parlent de s'enfuir, pour se battre contre la malédiction ou je ne sais quoi. C'est dingue quand même toute cette histoire.
- Tu y vas ?
- Oui, mais je veux donner de mes nouvelles à mes parents pour ne pas qu'il s'inquiète, et toi ?
- Oui, je veux être avec toi.
- Tu sais que ce sera dangereux, à supposer que tout cela est vrai ?
- Oui.
Il ne répond rien, énervé.
- C'est quand qu'on part ? Demandais-je pour rompre le silence.
- Dans une semaine.
- Mais je ne saurais jamais partir dans mon état.
- Le père de Tom affirme que tu seras remise sur pied avant une semaine.
- Génial !
Il sourit.
- Tu veux que je reste ? Demande-t-il.
- Oui.
Il s'assied sur une chaise à côté de moi.
- Je ne peux même pas rester loin de toi pendant une heure. Dit-il.
Je souris « moi, dés que tu pars tu emmène mon c½ur avec toi, et j'ai un grand vide en moi »
- J'ai peur de partir loin de chez mes parent. Lui dis-je à l'oreille.
- Moi aussi, mais de toute façon, ils veulent quand même nous emmener loin de chez eux. Rachel...
Maintenant, il disait Rachel avec une telle beauté que s'en était à couper le souffle.
- oui ?
- Promet moi que tu ne feras pas d'actes irréfléchis.
Je ne peux pas lui promettre ça, mais je peux lui promettre autre chose.
- Je te promets de toujours penser à toi.
Il se radoucit, de toute façon, il sait que je ne dirais jamais une fausse parole, alors il se contente du vrai.
On continue de parler, de Tom, d'April, des pouvoirs des autres, de nos parents.
Mais nous n'évoquons bizarrement pas ce qu'il s'est passé dans le trou.
- Et mais tu arrives à parler normalement maintenant. Dit-il étonner.
- Je suppose qu'ils mon donnée quelque chose.
- Ou peut-être que tu te remets déjà sur pied.
- ça, ça reste à voir.
- Tout ira bien. Dit-il soudainement, je sais qu'il dit ça pour me rassurer, mais la seule chose qui pourrait me rassurer, c'est de savoir qu'il serait toujours prés de moi.
Plus tard, Alex fini par partir pour laisser place à April qui le regardait d'un mauvais ½il.
Elle se jeta sur moi, littéralement.
J'eu un petit cri de douleur, elle se dégagea.
- J'ai du me retenir pour pas réduire Alex en bouillie, c'est de sa faute si tu es dans cet état.
- Un jour quelqu'un à dit, tu es maître de tes choix, et de tes actes.
- Qui ?
- Ma prof de Science quand j'ai fais tombé une de nos expérience et que j'avais accuser une fille qui était passé juste à côté de moi.
- Ha.
 
 [ln1]


 [ln2]


Tags : mon histoire, Histoire
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#Posté le vendredi 20 septembre 2013 08:49

"Cups" from Pitch Perfect by Anna Kendrick - Cover by CIMORELLI!

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#Posté le mercredi 18 septembre 2013 09:34

You're Gonna Miss Me (Cup Song)- Cover

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#Posté le mercredi 18 septembre 2013 09:30

You're Gonna Miss Me When I'm Gone (Cup Song) - Lizzie and Sita

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#Posté le mercredi 18 septembre 2013 09:27

Comment faire de la musique avec un gobelet ?

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Si vous voulez aprendre à faire la chanson du goblet...
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#Posté le mercredi 18 septembre 2013 09:22

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